Claude
Poète de la vie et du bonheur
Auteur & Parolier
Mes poèmes ! Des chansons !
Poète de la vie et du bonheur
Mes poèmes ! Des chansons !
De la poésie, des rigodons et des airs festifs !
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« Ce sont mes mots ! »
Ils sont nés du silence, de l'écho des pensées,
Des murmures du vent, des étoiles passées.
Mes poèmes, des graines semées au fil du temps,
Attendent aujourd'hui de trouver leur printemps.
La musique, pour l'instant, leur a donné des ailes,
Une mélodie éphémère, des voix artificielles.
Mais au-delà des notes, au-delà des refrains,
C'est une âme que je cherche, pour porter mes chemins.
Si mes vers résonnent en vous, si l'écho vous appelle,
Si votre voix est le souffle qui les rendra réels,
Alors venez, artistes, chanteurs, musiciens,
Donnez vie à ces mots, pour qu'ils deviennent les vôtres, les nôtres, les siens.
Courriel : claudeg1253@proton.me
Comment gros tu m’aimes? GX5MY2572728 2:38
Un fauve en cage GX5MY2595555 3:52
L’amour sur ton chemin GX5MY2537017 3:47
Ton amie, la vie GX5MY2536817 3:55
Décadence lancinante GX5MY2590254 5:35
Le possible, l’imaginable GX5MY2559825 3:28
Aimer l'amour GX5MY2570967 3:15
Un petit rien GX5MY2598157 3:00
M'aimerais tu quand même GX5MY2579196 3:31
Les oiseaux volent trop haut GX5MY2568862 3:13
Le rédacteur rédige GX5MY2572404 3:24
« Comment gros tu m'aimes? » : Une question de cœur sur un air ensoleillé
Alors, « Comment gros tu m'aimes ? » - ça, c'est ma petite révolution personnelle ! rires
Tu sais, après avoir écrit des ballades plus contemplatives, j'avais envie de quelque chose qui bouge, qui fait du bien au moral. Cette question-là, « Comment gros tu m'aimes ? », elle me trottait dans la tête depuis un moment. C'est tellement direct, tellement... enfantin dans le bon sens du terme, non ?
J'ai voulu sortir de ma zone de confort musicalement parlant. Fini les arrangements tout en douceur - là, j'avais envie de pop acoustique qui groove ! Une guitare qui pulse, des percussions qui donnent envie de bouger... Et puis cette idée de l'harmonica qui m'est venue comme ça. Tu vois, juste quelques touches mélodiques, rien de trop, mais ça apporte cette couleur folk qui me ressemble.
Ce qui me plaît dans cette chanson, c'est qu'elle pose une question universelle avec une simplicité désarmante. On a tous besoin de savoir qu'on est aimé, et pas juste un petit peu - « gros » comme on dit sourire C'est vulnérable et joyeux à la fois.
L'interprétation, je la voulais plus malicieuse, plus joueuse que d'habitude. Parce que l'amour, ça peut être profond et léger, non ? Ça peut faire réfléchir et donner envie de danser.
C'est ma façon de dire que l'amour inconditionnel, celui qui nous accepte avec tous nos défauts, nos bizarreries... eh bien, c'est ça qui mérite qu'on en fasse une fête ! Une chanson qui réchauffe et qui fait sourire, c'est exactement ce que je voulais offrir.
« Un fauve en cage », c’est un cri du dedans.
J’ai voulu écrire ce texte comme on ouvre une porte sur l’animal qu’on porte tous en soi. Il y a des jours où tout semble normal, où rien ne cloche en apparence, mais à l’intérieur, ça gronde, ça tourne en rond, ça cherche la sortie.
Le fauve, c’est cette part de nous qui refuse la routine, qui s’impatiente, qui rêve de liberté même quand tout va bien. C’est l’énergie brute, la nervosité, l’envie de briser les barreaux invisibles du quotidien.
J’ai choisi des images de jungle, de griffes, de rugissements, parce que la colère, l’impatience, ou même l’ennui, ça peut être sauvage, indomptable.
La musique, je l’imagine organique, tribale, avec des percussions qui rappellent la forêt, la terre, la vie animale. Pas de fioritures, juste le rythme, la pulsation, comme un cœur qui cogne trop fort dans une cage trop étroite.
Ce texte, c’est une invitation à reconnaître ce fauve en nous, à l’écouter, à ne pas avoir peur de ses élans. Parce qu’au fond, même en cage, il reste vivant, vibrant, prêt à bondir vers la lumière.
"L’amour sur ton chemin" : Le rock québécois à l’état brut
Tu sais, après avoir exploré des univers plus doux, j'avais cette rage qui montait en moi. Pas une colère destructrice, mais cette énergie brute qui vient du ventre quand on a vécu des choses difficiles. J'ai écrit ce texte en pensant à tous ceux qui se battent, qui tombent, qui se relèvent.
Pour l'arrangement, j'ai voulu du rock québécois sans compromis. Des guitares électriques qui mordent, une basse qui frappe au plexus, des batteries qui cognent. Un mélange de rock classique, de blues et de grunge - tout ce qui me nourrit musicalement. Je voulais que ça sonne organique, nerveux, comme si ça sortait directement des tripes.
L'interprétation, je l'ai imaginée rocailleuse, passionnée. Chaque mot doit transpirer la réalité des épreuves, cette rage de vivre qui nous pousse à continuer malgré tout. C'est cru, sans fard, parce que la vie, elle est comme ça parfois.
Et ce solo de guitare après le deuxième refrain... c'est le moment où tout explose ! Sauvage et mélodique à la fois, c'est la libération, la catharsis. C'est dire : « Oui, j'ai mal, mais je me bats ! »
Cette chanson, c'est mon hymne à la résistance. À tous ceux qui cherchent l'amour et la lumière au cœur de la tempête. C'est ma façon de dire que même dans les moments les plus sombres, on peut retrouver sa force intérieure. Du rock québécois assumé, profondément humain.
"Ton amie, la vie" : Une ballade folk intime et lumineuse
Quand j'ai écrit « Ton amie, la vie », j'avais cette image qui me trottait dans la tête : et si on arrêtait de voir la vie comme quelque chose qui nous arrive, et qu'on commençait à la voir comme une amie ? Une vraie amie, tu sais, celle qui est là dans les bons comme dans les mauvais moments.
J'ai voulu créer quelque chose de doux, d'intime. Pas besoin de gros arrangements ou de production complexe - juste une guitare acoustique en fingerpicking, un piano qui caresse les mélodies, et cette idée du duo homme-femme qui se parle, qui se répond. C'est comme une conversation entre deux personnes qui réfléchissent ensemble à ce qu'on attend vraiment de l'existence.
Tu sais, on court souvent après la richesse, le succès, la reconnaissance... Mais au fond, qu'est-ce qui compte vraiment ? Dans cette chanson, je pose la question : et si ce qu'on cherchait, c'était juste d'être en paix avec la vie ? D'en faire notre alliée plutôt que notre adversaire ?
Les harmonies légères, les dynamiques douces... tout ça, c'est volontaire. Je voulais que ça ressemble à une confidence, à un moment de tendresse partagé. Quand les deux voix s'entrelacent, c'est comme si elles se soutenaient mutuellement dans cette réflexion.
C'est une chanson qui me tient à cœur parce qu'elle parle de bienveillance, d'espoir, de ces petits moments du quotidien qu'on oublie trop souvent d'apprécier. Elle me rappelle que parfois, la plus grande force, c'est justement la douceur.
Décadence Lancinante
À travers « Décadence Lancinante », je vous invite à plonger dans mon regard sur la ville et sur notre époque. Ce texte, né de mes observations et de mes questionnements, explore la face cachée de la vie urbaine : la solitude, la peur, la violence, mais aussi les petites lumières qui persistent malgré tout.
J’ai voulu dresser un portrait sans fard de ce que je vois et ressens : les visages fatigués croisés au petit matin, les gestes lents, les silences lourds, les contrastes entre la beauté de la nature et la dureté de la rue. J’aborde aussi la perte de repères, les dérives de la société, les mutations de notre langue, et cette impression de froid qui s’installe, autant dans l’air que dans les cœurs.
Mais au-delà de la noirceur, il y a dans ce texte une quête de sens, une envie de réveiller les consciences, de rappeler que l’amour, la solidarité et la poésie peuvent encore exister, même dans un monde qui vacille.
Décadence Lancinante, c’est mon cri lucide, parfois désabusé, mais toujours habité par l’espoir d’un renouveau.
Merci de prendre le temps de l’écouter, de le lire, et peut-être d’y reconnaître un peu de vous-même.
« Le possible, l'imaginable »... ça, c'est peut-être le morceau le plus nu que j'aie jamais écrit. Juste une guitare acoustique et une voix, cette envie de parler directement au cœur des gens.
Tu sais, j'ai voulu aller à l'essentiel. Pas d'artifices, pas de fioritures - juste du fingerpicking tout simple et une interprétation épurée. Parce que parfois, quand on a quelque chose d'important à dire, il faut que ça sorte sans filtre, sans décoration.
Cette chanson, elle est née de mes observations du quotidien. On passe notre temps le nez collé sur nos écrans, nos préoccupations, nos petits problèmes... et on oublie de lever les yeux. Mais quand on le fait - vraiment - qu'est-ce qu'on voit ? De la beauté, oui, mais aussi de la souffrance. Des opportunités qui passent, des moments de grâce qu'on rate.
J'ai voulu que l'arrangement soit comme une conversation intime. Que les gens se sentent comme si quelqu'un était assis à côté d'eux, à leur murmurer ces questions qui me hantent : « Est-ce qu'on voit vraiment ce qui se passe autour de nous ? »
Le tempo lent, c'est volontaire. Je voulais forcer l'écoute, créer cet espace de réflexion. Chaque silence compte, chaque note a sa place. C'est mélancolique, oui, mais avec cette lueur d'espoir au bout - parce que quand on ouvre vraiment les yeux, on découvre que le possible et l'imaginable sont partout, il suffit de savoir regarder.
C'est ma façon de dire : « Arrêtons-nous un instant, observons, et découvrons ensemble ce qui nous attend. »
« Aimer l’amour » : La chanson française romantique dans sa plus pure douceur
« Aimer l'amour »... ça, c'est mon côté vieux romantique qui ressort ! sourire
Tu sais, j'ai toujours eu cette fascination pour la chanson française classique, ces mélodies intemporelles qui parlent d'amour avec une élégance qu'on ne retrouve plus beaucoup aujourd'hui. Alors j'ai voulu écrire quelque chose dans cette veine-là, mais avec mes mots à moi.
Pour l'arrangement, j'ai imaginé quelque chose de délicat, de raffiné. Un piano doux qui mène la danse, une contrebasse qui enveloppe tout de sa chaleur, et cette flûte traversière qui apporte cette touche de rêve... Pas de batterie, pas de percussion - juste l'émotion pure. Je voulais que ça flotte, que ça soit suspendu dans le temps.
L'interprétation, je l'ai pensée mature, expressive. Pas l'amour fou de la jeunesse, mais cette compréhension profonde de ce que représente vraiment aimer. Chaque mot chanté avec cette sincérité teintée de nostalgie, comme si on se souvenait des plus belles histoires d'amour qu'on a vécues ou rêvées.
Cette chanson, c'est ma déclaration à l'amour sous toutes ses formes. La passion, bien sûr, mais aussi la tendresse du quotidien, la fidélité qui traverse les années. C'est mon hommage à cette force qui nous fait vibrer, qui nous réchauffe le cœur.
« Aimer l'amour », c'est dire que l'amour véritable, c'est le plus beau des refuges. Une chanson pour les moments précieux, pour se rappeler que certaines choses ne se démodent jamais.
Un petit rien, c’est un clin d’œil à toutes ces petites choses qui, sans qu’on s’en rende compte, viennent nous gruger le moral. C’est un texte né d’une observation du quotidien, de ces détails minuscules qui, mis bout à bout, finissent par prendre toute la place. J’ai voulu écrire ça avec légèreté, un brin d’humour, parce que parfois, il vaut mieux en rire qu’en pleurer.
Je ne suis pas chanteur, je suis un gars de mots. Ce texte, je l’ai pensé comme une ritournelle, un refrain qui revient, qui s’incruste dans la tête, un peu comme ce « petit rien » qui s’incruste dans nos vies. J’aime l’idée que la musique puisse donner à mes mots une énergie nouvelle, les faire danser, les rendre contagieux.
C’est une chanson pour s’amuser, pour sourire de nos petites misères, pour se rappeler que, souvent, ce qui nous rend fous, ce n’est pas grand-chose… mais ça prend toute la place ! Alors, on s’amuse, on exagère, on joue avec les images, et on laisse la musique faire le reste.
Cette chanson, je l'ai voulue sans fioriture, sans artifice. Juste des mots posés sur la réalité crue de ce qui nous attend peut-être tous un jour.
J'ai choisi de la parler plutôt que de la chanter parce que certaines vérités, elles ne se chantent pas - elles se disent. Comme une confidence qu'on fait à quelqu'un qu'on aime, dans le silence d'une fin d'après-midi. Ces questions-là, on se les pose pas en musique, on se les murmure dans le creux de l'oreille.
Le violon et le violoncelle, c'est mon âme qui pleure pendant que ma bouche articule ces peurs. Quand les mots deviennent trop lourds, la musique prend le relais. Ce solo de violon au milieu, c'est le moment où même moi, je n'arrive plus à parler. Où il faut laisser l'instrument dire ce que le cœur ressent.
Cette maladie qui efface tout, qui transforme celui qu'on aime en étranger dans son propre corps... j'ai voulu donner une voix à cette angoisse universelle. Pas avec des grandes envolées dramatiques, mais avec la simplicité de celui qui doute, qui a peur, qui espère encore.
Chaque phrase, je l'ai pesée. « Si un jour je ne me souviens plus de ton prénom...» C'est le début de la fin, cette première faille dans la mémoire. Et puis ça s'aggrave, petit à petit, jusqu'à ne plus être que l'ombre de soi-même.
Mais au cœur de cette descente, il y a cette question lumineuse : l'amour peut-il survivre à l'oubli ? C'est ma façon de dire que même dans la nuit la plus noire, il reste cette lueur d'espoir. Que peut-être, quelque part, quelqu'un nous aimera quand même.
Cette chanson, c'est pour tous ceux qui ont peur de vieillir, de perdre la tête, de devenir un fardeau. Et c'est aussi pour ceux qui aiment sans condition, qui restent présents quand tout s'effrite.
Au final, c'est une prière déguisée en chanson. Une prière pour que l'amour soit plus fort que l'oubli.
Cette chanson, c’est un peu le reflet de mon esprit quand il vagabonde. J’y raconte ce sentiment d’errance, ce flou qui m’habite parfois, quand je ne sais plus trop où je suis ni qui je suis. Les questions existentielles me tournent dans la tête, comme un manège qui ne s’arrête jamais. J’ai voulu mettre en mots cette impression d’être à la fois partout et nulle part, de chercher des réponses qui ne viennent pas, de me perdre dans des détails, des souvenirs flous, des objets qui deviennent des énigmes.
Mais j’ai choisi de poser tout ça sur un rythme rapide, entraînant, presque joyeux. Parce que la vie, même quand elle nous échappe, continue d’avancer. Ce contraste entre la mélancolie du texte et l’énergie de la musique, c’est ma façon de dire qu’on peut danser avec ses doutes, qu’on peut sourire même quand on se sent un peu perdu. J’imagine la voix douce, veloutée, chaleureuse, comme une caresse qui rassure au milieu du vertige.
Au fond, « Les oiseaux volent trop haut », c’est une chanson sur l’inaccessible, sur ces rêves ou ces réponses qui nous échappent, mais c’est aussi une invitation à continuer d’avancer, à se laisser porter, même quand on ne comprend pas tout. Parce qu’aujourd’hui les oiseaux volent haut… et demain, qui sait, ils voleront peut-être plus bas.
"Le rédacteur rédige" : Une ode à la création, douce et nostalgique
« Le rédacteur rédige »... ça, c'est mon hommage à tous ceux qui vivent par les mots !
Tu sais, j'ai toujours été fasciné par le processus d'écriture. Cette alchimie mystérieuse où on part d'une page blanche et où, petit à petit, les mots trouvent leur place. J'ai voulu capturer cette magie-là, cette intimité du créateur face à sa création.
Pour l'arrangement, j'ai imaginé quelque chose qui commence tout en douceur - une guitare acoustique délicate, une interprétation mature et chaleureuse. Puis un piano subtil qui vient enrichir, comme une pensée qui se développe. Et quand arrive le refrain, cette batterie légère qui donne de l'élan, ces cordes enveloppantes... c'est l'inspiration qui prend son envol !
Le tempo lent à modéré, c'est volontaire. Je voulais que chaque mot respire, que chaque note ait sa place. Parce que l'écriture, c'est ça - prendre le temps, chercher le mot juste, peaufiner.
Cette chanson, elle met en scène le quotidien du rédacteur : ses doutes quand la page reste blanche, ses trouvailles quand l'inspiration frappe, cet amour du langage qui nous pousse à toujours recommencer. J'ai voulu jouer avec les images, les jeux de mots, rendre hommage à cette passion d'écrire.
C'est pour tous ceux qui aiment jongler avec la langue, qui voient dans l'écriture une école de vie. Parce que derrière chaque texte, il y a effectivement un cœur qui bat, une main qui cherche, et une voix qui rêve de toucher l'autre.
Rédacteur chevronné, j’ai fait ma marque aux communications de TVA, de TQS, ainsi qu’auprès de nombreuses entreprises et organisations tout au long de ma carrière. Originaire du Saguenay, je me suis installé à Montréal l’année des Jeux olympiques, troquant les rives du fjord pour l’effervescence de la métropole.
Depuis mes premières dictées à l’école primaire jusqu’à aujourd’hui, je n’ai jamais cessé d’écrire, toujours avec ma voix bien à moi. Pour moi, chaque mot est une occasion de raconter, de toucher, de faire réfléchir. Passionné par la langue française, j’aime jouer avec les nuances, les images et les émotions, que ce soit pour informer, convaincre ou simplement faire sourire.
Curieux de tout, je m’inspire du quotidien, des gens et de l’actualité pour nourrir ma plume. Mon parcours témoigne d’une grande polyvalence, mais aussi d’une fidélité à mes racines et à mes valeurs : authenticité, rigueur et humanité.
Les mots de Claude Girard voyagent en musique grâce à Steve Nantel
Un projet né de l’amitié, du cœur et du Québec
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